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Psychologie des prix: comment arrêter d'avoir peur de prendre cher

C'est incroyable de voir à quelle fréquence les filles fortes, spectaculaires et intelligentes...

...qui sont capables de lever la tête d'un homme en cinq minutes ont peur de nommer un prix.
Le vrai prix est celui qu'ils ressentent à l'intérieur, pas celui qu'il est commode de mettre dans le canal Telegram", pour ne pas décourager."


La peur que ce soit cher ne concerne pas le marché

C'est à propos de la tête.
Sur la confiance en soi.
À propos de ce qui se trouve sous la peau, entre "Je vais bien" et "soudain, je me suis surestimé."


Soyons honnêtes

Dans l'escorte, personne ne paie pour l'objectivité.
Ici, le prix n'est pas arithmétique.
C'est de la psychologie.
Et c'est elle qui fait des filles pour 300, et d'autres pour 3000.
Bien que sur la photo, ils peuvent se ressembler.


Cet article ne parle pas de "comment augmenter le prix"

Mais de ce qui se passe dans ta tête quand tu essaies.
Et comment arrêter de saboter au début.


Le prix n'est pas le montant. C’est un sentiment

Si vous ne croyez pas que c'est cher, le client le ressentira en une seconde.
Même si vous apprenez toute la liste des phrases sur "haut niveau uniquement" et écrivez le prix en euros.
Ils te verront et penseront, je ne te crois pas.

Parce que le prix n'est pas un chiffre dans le questionnaire.
C'est votre soutien intérieur.


Le prix est dans les détails invisibles

Comme assis.
La façon dont tu as l'air.
Comme tu es silencieux.
Comme tu l'as dit, non.

Le prix est votre tige invisible, que vous n'avez pas besoin de prouver — c'est juste.


Pourquoi est-ce si effrayant d'augmenter le prix ?

Il y a plus de raisons qu'il n'y paraît :

  • Peur de perdre un client.
    Le plus commun. "Et s'ils n'écrivent pas ?"
    Et donc vous baissez le prix, pour ne pas rester sans demande.
    Mais le paradoxe : plus le prix est bas, moins il y a de fidélité.

  • La peur d’être avide.
    Cette peur vient de l'enfance.
    On nous a appris que demander trop est honteux, laid, cupide.
    Oublie. Il ne s'agit pas de toi.
    Tu es une femme qui se choisit elle-même.

  • Peur du rejet.
    Lorsque le prix est élevé, il y a un plus grand risque d'entendre "non".
    Mais la vérité ? Le rejet est un filtre.
    Il ne s'agit pas de toi. C'est à propos de lui.


Prix et confiance : vous ne valez pas ce que vous êtes payée

Voici la clé.
Beaucoup de filles mesurent inconsciemment leur valeur par le nombre de demandes et le montant du transfert.

Mais le prix n’est qu’un numéro que vous appelez.
Il reflète combien vous pouvez vous permettre d’obtenir.


L’état d’esprit change tout

Il y a une fille qui pense qu'elle a 300 plafonds et vit de l'usure.
Et puis il y a quelqu'un qui est sûr que son 2000 est sincère — et l'obtient sans culpabilité.

La différence ?
La résolution interne.
Vous vous permettez de vivre facilement ?
Ou vous continuez à payer en vous vidant ?


Et si vous augmentez le prix ?

Au début, ce sera effrayant.
Sérieux. Comme sauter d'une falaise.
Mais ensuite...

  1. Vous commencez à vous apprécier davantage.
    Vous arrêtez de négocier à rabais.

  2. Un autre client arrive.
    Celui qui apprécie l'ambiance, la subtilité, le style.

  3. Vous travaillez moins et gagnez plus.
    Ce n’est pas de la magie. C’est de l’arithmétique.


Comment arrêter d'avoir peur de nommer un prix élevé ?

  • Arrêtez d'expliquer.
    Le prix n’a pas à s’excuser.

  • Pratiquez votre voix.
    Notez comment vous dites votre prix.
    Parlez jusqu'à ce que ça sonne solide.

  • N'ayez pas peur du "non".
    Aimer tout le monde, c’est être trop bon marché.

  • Laissez place au silence.
    T’as dit ton prix ? Tais-toi.


Comment savoir si vous sous-estimez votre prix ?

C’est simple :

  • Vous êtes fatiguée.

  • Vous êtes en colère contre les clients.

  • Vous ressentez de la frustration après les rencontres.

  • Vous comptez l'argent, mais ressentez du vide.

Ce sont tous des signaux.
Vous vendez en dessous de votre niveau.


Le prix est comme des sous-vêtements

Si ce n’est pas votre taille, vous êtes mal à l’aise toute la journée.
Mais quand c’est le bon prix ?
Vous êtes détendue.

Pas dans le stress.
Pas dans le doute.
Juste... vous-même.


La comparaison tue le prix

Vous voulez perdre pied ?
Comparez-vous :

"Elle est plus jeune."
"Elle a plus de seins."
"Elle prend le double."

Et déjà, vous doutez.

Mais l’autre, ce n’est pas vous.
Chacun a son style, son énergie.

Vous n’avez pas besoin d’être la meilleure.
Vous devez être vous-même — confiante, calme, entière.


La liste de prix comme test décisif

Il y a des filles qui ont peur d’augmenter leur prix pendant des années.
Et il y en a d’autres qui comprennent :

Le prix est un miroir de votre maturité intérieure.

Si vous voulez changer de niveau, commencez par l’intérieur.
Pas par la stratégie, ni les filtres.
Juste par un : "voici mon niveau. C’est ce que je dis."


Et oui, au début c’est vide

Puis c’est étrange.
Et puis... libre.


Enfin, une pensée simple

Cher n'est pas celle qui demande beaucoup.
C’est celle qui n'a pas peur d’être elle-même à son prix.

Pas besoin de supplier, d’expliquer, ou de séduire.
Le prix ne tient ni dans les jambes, ni dans la robe.

Le prix se porte dans la tête.

Et quand vous arrêtez de vous dévaloriser ?
Le monde paie.

Parce que si vous vous appréciez,
il n’y a tout simplement pas d’autre option.