Mes Aventures à Diest : L'Escorte, le Massage Érotique et les Strip-teaseuses
Diest ne brille pas. Elle s’enfonce en toi. Comme elle.
Je l’ai rencontrée près des vieux remparts — là où les pierres respirent plus froid que l’air. Elle était assise seule, les mains autour d’une tasse de café refroidi, regardant rien en particulier, comme si elle avait tout le temps du monde.
Elle n’a pas souri quand je me suis approché. Elle a juste dit : « Tu n’as rien à expliquer ici. »
Elle n’a jamais dit qu’elle était une escorte en Belgique. Elle a dit : « J’offre quelque chose de plus silencieux que le toucher — si tu es prêt à rester assez longtemps pour l’entendre. »
Son appartement était niché derrière une boulangerie qui sentait la farine et la pluie. Lampes tamisées. Couvertures épaisses. Une chaleur qui ne te demandait rien.
Elle n’a pas précipité le contact. Elle s’est assise près de moi d’abord. A attendu que ma respiration ralentisse.
Le massage était lent et irrégulier — pas pour impressionner, mais pour écouter. Ses doigts bougeaient comme quelqu’un lisant une vieille lettre — doucement, parfois en pause, parfois en appuyant, sans jamais se presser vers quelque chose que je n’étais pas prêt à donner.
Elle s’est déshabillée avec la même quiétude qu’elle portait partout. Son striptease n’était pas une danse. C’était une décision — être vue sans défenses, et m’inviter à faire de même.
Les belles filles de Diest ne séduisent pas. Elles rendent sûr l’arrêt de la course.
Et les filles chères ici ? Elles ne coûtent pas ton argent. Elles coûtent la version de toi qui pensait que l’immobilité était quelque chose à craindre.
Tu veux rencontrer une fille à Diest ? Viens quand les rues sont vides. Viens quand la pluie ne te dérange plus. Elle saura. Et si elle reste — tu comprendras enfin pourquoi certains silences sont plus chauds que les mots.