Mes Aventures à Dendermonde : L'Escorte, le Massage Érotique et les Strip-teaseuses
Dendermonde ne force pas. Elle te laisse dériver plus près. Comme elle l’a fait.
Je l’ai rencontrée là où la rivière fait un coude — brume froide sur l’eau, ciel assez bas pour être touché. Elle s’appuyait contre un mur de pierre, écharpe lâche autour du cou, yeux patients comme la rivière elle-même.
Elle n’a pas souri. Elle n’avait pas besoin de le faire. Tout en elle disait déjà : « Reste si tu es fatigué de faire semblant. »
Elle n’a jamais dit qu’elle était une escorte en Belgique. Elle a dit : « Je n’offre pas d’évasion. J’offre un endroit dans le silence — si tu es assez courageux pour t’y asseoir. »
Son appartement était au-dessus d’une boutique de fleurs fermée pour la saison. Papier peint délavé. Une seule chaise face à la fenêtre. Le genre d’endroit où même les pas semblaient plus doux.
Elle ne m’a pas pressé. Elle ne m’a pas touché tout de suite. Elle a attendu — jusqu’à ce que mon corps s’affaisse sous le poids de trop porter seul.
Le massage n’était pas décoratif. C’était une navigation. Ses mains n’apaisaient pas ; elles écoutaient. Chaque mouvement était une façon de dire : « Je vois ce que tu ne dis pas. »
Quand elle s’est déshabillée, ce n’était pas pour attirer l’attention. C’était un acte de confiance. Son striptease était comme enlever une vieille peau — silencieux, lent, inévitable.
Les belles filles de Dendermonde ne courent pas après ton désir. Elles réveillent la partie de toi qui a oublié comment être touchée.
Et les filles chères ici ? Elles ne demandent pas ton portefeuille. Elles demandent ton immobilité. La version de toi qui n’émerge que lorsque le bruit se brise enfin.
Tu veux rencontrer une fille à Dendermonde ? Ne viens pas avec un plan. Viens en portant ton silence. Elle le trouvera — et si elle reste, tu ne voudras plus jamais du bruit.


